Quel corticoïde utiliser pour une infiltration dans les pathologies du rachis lombaire ?

SOURCE : Yves Maugars | ACTUALITÉS EN MÉDECINE PHYSIQUE ET DE RÉADAPTATION – 01-02 – janvier – juin 2020
Dossier d’après Yves Maugars*, © La Lettre du Rhumatologue 2019;454:22-5.

Il faut se poser la question de l’intérêt d’utiliser une forme retard de corticoïde injectable. Les quantités de corticoïde à injecter demeurent très empiriques, fonction de la taille de l’articulation et de l’importance de l’inflammation, avec un effet dose avéré. Les complications restent très rares, non pas tant le passage systémique transitoire, que le malaise vagal ou les allergies, les infections, les atrophies tissulaires, avec une mention spéciale pour les risques de floculation intravasculaire.

Toxicité hépatique des immunothérapies antitumorales

SOURCE : G. Malamut | CORRESPONDANCE EN ONCO-UROLOGIE janvier, février, mars 2020

La fréquence des hépatites immunomédiées consécutives à l’usage des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire (IPCI) est en général inférieure à 10 % mais augmente en cas de combothérapie.

Les atteintes histologiques hépatiques diffèrent selon le type d’IPCI : granulomateuses en cas d’utilisation des anticorps anti-CTLA-4 et plus hétérogènes avec les anti-PD-1 ou PD-L1.

Caféine et maladie d’Alzheimer

Caféine et maladie d’Alzheimer

SOURCE : T. Lebouvier, K. Carvalho, D. Blum | CORRESPONDANCES EN MÉDECINE COGNITION & VIEILLISSEMENT – Janvier-juin 2020

Les études épidémiologiques montrent un signal en faveur d’un effet protecteur de la caféine sur le déclin cognitif lié à l’âge.
Les propriétés pharmacologiques de la caféine soulignent son effet bénéfique sur l’attention et possiblement la mémoire, fonctions précocement atteintes dans la MA, sans effet indésirable à des doses inférieures à 400 mg/j.

Toxicité des immunothérapies en gastroentérologie

SOURCE : Franck Carbonnel | CORRESPONDANCE EN ONCO-UROLOGIE – janvier, février, mars 2019

L’immunothérapie des cancers est en plein développement. Les anticorps monoclonaux anti-CTLA-4 et anti-PD-1 sont des inhibiteurs des points de contrôle immunitaire (IPCI). Ils ont amélioré le pronostic de nombreuses tumeurs malignes, au premier rang desquelles le mélanome, le cancer du poumon non à petites cellules, le cancer du rein et du tractus urinaire. Cependant, les IPCI sont à l’origine d’effets indésirables immunomédiés

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