Sclérose en plaques et risque infectieux à l’ère des immunosuppresseurs

SOURCE : Valérie Pourcher | LA LETTRE DU NEUROLOGUE septembre 2019

Les traitements immunosuppresseurs de la SEP peuvent entraîner un risque de réactivation d’agents pathogènes latents, d’aggravation d’infections chroniques asymptomatiques et un risque d’infections de novo, communautaires ou nosocomiales.
En pratique clinique, il est préférable d’évaluer ce risque le plus tôt possible, au moment du diagnostic de SEP, de proposer un suivi spécifique ou un projet vaccinal dès que possible afin d’éviter les contreindications
ou le risque de réponses vaccinales plus faibles sous traitement.

Intérêt d’une diffusion large de Naloxone

SOURCE : RÉSEAU FRANÇAIS D’ADDICTOLOGIE – Avril 2020

L‘Organisation mondiale de la santé (OMS) récence environ 70 000 décès par surdosage d’opioïdes dans le monde chaque année. Ces décès se déroulent dans 70 % des cas en présence d’un témoin. Dans ce contexte, l’OMS a encouragé les autorités de santé à mettre à disposition des personnes à risque d’overdose un antidote la naloxone.

Limitation de la durée de prescription du tramadol : comment en est-on arrivé là ?

SOURCE : RÉSEAU FRANÇAIS D’ADDICTOVIGILLANCE Avril 2020

Pourquoi surveiller l’évolution de l’abus et de la dépendance au tramadol ?
Longtemps présenté comme à moindre risque que les autres antalgiques opioïdes et qualifié « d’opioïde faible », le tramadol engendre une dépendance physique et psychologique ainsi que des conséquences néfastes lors d’un abus, avec en particulier des convulsions, voire le décès (par toxicité opioïde : dépression et arrêt respiratoire)

Essais Cliniques COVID-19

Suite au développement spectaculaire de la pandémie dans le monde, de nombreux essais cliniques ont été lancés sur tous les continents ces dernières semaines. CEPTON et INATO vous présentent une vue d’ensemble de ces essais régulièrement mise à jour. Les informations sont rédigées grâce aux données de la plateforme ANTICOVID.

Effets indésirables de la suppression androgénique chez les personnes de plus de 75 ans

SOURCE : Helen Boyle | LA LETTRE DU CANCÉROLOGUE – septembre 2019

La suppression androgénique est un traitement central dans la prise en charge du cancer de la prostate. Elle s’accompagne cependant d’un certain nombre d’effets indésirables qui peuvent avoir des conséquences encore plus importantes chez les patients âgés. Ce traitement peut induire un syndrome métabolique qui est un facteur de risque cardiovasculaire.

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