Toxicité des immunothérapies en cardiologie

SOURCE : M. Mirabel | CORRESPONDANCES EN UROLOGIE janvier-février-mars 2020

L’immunothérapie anticancéreuse (inhibiteurs des points de contrôle immunitaire (IPCI) anti-PD-1, anti-PD-L1 et anti-CTLA-4) est en passe de devenir une 1 re ligne thérapeutique dans nombre d’indications en oncologie. Les complications cardiovasculaires, notamment la myocardite, sont rares, mais la mortalité qui leur est attribuable atteint près de 50 %.

Anticoagulants et hémorragies cérébrales : des relations variables

Anticoagulants et hémorragies cérébrales : des relations variables

SOURCE : François Caparros, Charlotte Cordonnier | LA LETTRE DU NEUROLOGUE Janvier-février 2020

La prise d’un traitement anticoagulant au moment de l’hémorragie cérébrale est un facteur de mauvais pronostic vital et fonctionnel.
La prise en charge des patients présentant une hémorragie cérébrale sous anticoagulant est urgente et repose sur l’admission en unité neurovasculaire, la maîtrise des chiffres tensionnels associée à des mesures spécifiques de correction des troubles de l’hémostase.

Comment minimiser les risques sur la fertilité des traitements du cancer du sein chez les femmes jeunes ? Quoi de neuf en matière de préservation de la fertilité ?

SOURCE : Jennifer Flandrin, Charlotte Sonigo, Michaël Grynberg | LA LETTRE DU SÉNOLOGUE octobre-novembre-décembre 2019

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes en âge de procréer, mais l’amélioration des traitements permet à ces patientes d’envisager un avenir reproductif. Proposer une préservation de la fertilité est indispensable en amont d’un traitement potentiellement gonadotoxique et retardant le projet de grossesse. Une consultation dédiée devra être réalisée au plus vite après le diagnostic, afin d’informer la patiente sur l’impact des traitements sur la fonction ovarienne et de discuter des possibilités de la préservation de la fertilité.

Impact des antibiotiques et de la chimiothérapie sur l’acquisition et le portage des bactéries multirésistantes

SOURCE : Paul Louis Woerther | LA LETTRE DE L’INFECTIOLOGUE novembre-décembre 2019

Le microbiote intestinal nous protège de l’acquisition des bactéries exogènes grâce à sa fonction de résistance à la colonisation.
En raison de leur effet sur le microbiote intestinal, les antibiotiques favorisent l’acquisition de BMR exogènes comme les entérobactéries productrices de BLSE ou de carbapénémase.

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