L’ABUM a organisé au salon Pharmagora Plus à Paris en présence de Grégory Emery, Directeur Général de la Santé adjoint, une table ronde consacrée au rôle des pharmaciens sur le bon usage des antibiotiques et aux nouveaux outils à leur disposition.
Ni les adolescents, ni les enfants n’ont été les premières cibles de la vaccination contre le Covid-19. En effet, la maladie présentant un niveau de gravité bien plus faible pour eux que pour les adultes, en particulier les plus âgés et les plus fragiles, il n’a pas semblé nécessaire de les vacciner rapidement. De plus, la vaccination des plus jeunes ne pouvait être envisagée que sur la base de solides données de tolérance de ces nouvelles technologies vaccinales…
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1. En quoi consiste Certipair, votre innovation ? Comment ça marche ?
60 % des recommandations médicales ne sont pas appliquées par les patients suite à une prescription médicamenteuse.
La communication des professionnels vers les patients rencontre de nombreux écueils :
- Les échanges sont brefs et ponctuels (ex : 10 minutes tous les 3 mois) ;
- Ils ont lieu quand le patient est affaibli, anxieux ou inconfortable et donc peu attentif ;
- L’information se fait sans support à conserver pour que le patient s’y reporte à tête reposée (les supports papiers sont rapidement obsolètes et demandent de la logistique).
- La recherche sur l’embryon humain est autorisée mais reste limitée en raison de la rareté des embryons disponibles et de l’encadrement législatif restrictif.
- Les embryons congelés issus de FIV et dépourvus de projet parental peuvent être conservés jusqu’à 5 ans et intégrer un projet de recherche.
- Dans le cadre de la recherche, les technologies permettant l’édition de génome dans l’embryon humain sont dorénavant autorisées.
- Dans le cadre de projets de recherche spécifiquement autorisés, la limite de culture in vitro des embryons humains a été prolongée de 7 à 14 jours.
Une étude signalée par Michel Boublil confirme le rôle des perturbateurs endocriniens (PE) dans le développement cérébral [1]. Publiée dans la revue Science, elle comporte une enquête épidémiologique et un travail expérimental sur des modèles cellulaires et in vivo.
L’étude épidémiologique a été menée en Suède auprès d’une cohorte de 1 800 femmes enceintes, dont on a mesuré dans le sang et les urines la présence de différents produits chimiques (phtalates, bisphénol A, composés perfluorés).
L’exposition in utero à ce mélange de PE, courants dans notre environnement, a été corrélée au développement du langage des enfants à l’âge de 30 mois, évalué selon le nombre de mots acquis à cet âge.