Médicaments dans une main

Interactions entre les médicaments anti-infectieux et les antitumoraux de thérapies ciblées orales

SOURCE : C. TRON | MÉDECINE ET ENFANCE septembre 2019

Les antitumoraux de thérapies ciblées orales sont substrats et, parfois, modulateurs du cytochrome P450 (CYP450) et de transporteurs, ce qui les implique dans de nombreuses interactions médicamenteuses (IAM).

Nombre d’antibiotiques, d’antiviraux et d’antifongiques sont modulateurs du CYP450 et peuvent donc faire varier les concentrations sanguines des antitumoraux ou être victimes de l’interaction de l’antitumoral avec leur propre pharmacocinétique.

Toxicité rénale des inhibiteurs des points de contrôle de l’auto-immunité

Toxicité rénale des inhibiteurs des points de contrôle de l’auto-immunité

SOURCE : Hassan Izzedine | CORRESPONDANCE EN ONC-UROLOGIE – janvier, févier, mars 2020 septembre 2019

L’inhibition du point de contrôle immunitaire a eu un succès clinique majeur en oncologie clinique et un impact sur le paradigme du trai- tement de nombreux cancers. Les indications de l’immunothérapie se sont progressivement étendues, y compris pour les traitements adjuvants. Les toxicités associées à l’immunothérapie sont bien décrites et peuvent toucher n’importe quel organe du corps humain. La toxicité rénale est multifocale.

Organisation en réseaux pour la prise en charge des effets indésirables de l’immunothérapie anticancéreuse

SOURCE : Jean-Marie Michot, Stéphane Champiat, Olivier Lambotte | CORRESPONDANCES EN ONCO-UROLOGIE – Janvier, février, mars 2020

L’arrivée des nouvelles immunothérapies anti-CTLA-4 et anti-PD-1/ PD-L1 constitue une réelle révolution en oncologie médicale. Tout d’abord, leur mécanisme d’action est un vrai changement de paradigme :

Acétate de cyprotérone et méningiomes : une liaison dangereuse ?

SOURCE : Matthieu Peyre et Michel Kalamarides | LA LETTRE DU NEUROLOGUE – mars 2020

Les méningiomes représentent la tumeur intracrânienne primitive la plus fréquente chez l’adulte âgé de plus de 35 ans. Le lien entre méningiomes et hormones sexuelles endogènes est connu de longue date, suggéré par la prédominance des méningiomes chez la femme, la présence très fréquente de récepteurs de la progestérone dans les tumeurs et les variations rapportées du volume tumoral pendant la grossesse.

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