SOURCE : Julien Husson | RISQUES 2005
Salles d’urgence bondées, attentes interminables, mauvais diagnostics, surmédication, complications postopératoires, infections nosocomiales… La liste des événements indésirables hospitaliers est longue. L’aphorisme hippocratique « primum non nocere » montre à quel point il a toujours été un grand souci et consacre les bases d’une gestion des risques en des termes témoignant du paradoxe de la médecine potentiellement porteuse de guérison comme de nuisances. Fin 2003, un rapport de la direction générale