Organisation en réseaux pour la prise en charge des effets indésirables de l’immunothérapie anticancéreuse

SOURCE : Jean-Marie Michot, Stéphane Champiat, Olivier Lambotte | CORRESPONDANCES EN ONCO-UROLOGIE – Janvier, février, mars 2020

L’arrivée des nouvelles immunothérapies anti-CTLA-4 et anti-PD-1/ PD-L1 constitue une réelle révolution en oncologie médicale. Tout d’abord, leur mécanisme d’action est un vrai changement de paradigme :

Acétate de cyprotérone et méningiomes : une liaison dangereuse ?

SOURCE : Matthieu Peyre et Michel Kalamarides | LA LETTRE DU NEUROLOGUE – mars 2020

Les méningiomes représentent la tumeur intracrânienne primitive la plus fréquente chez l’adulte âgé de plus de 35 ans. Le lien entre méningiomes et hormones sexuelles endogènes est connu de longue date, suggéré par la prédominance des méningiomes chez la femme, la présence très fréquente de récepteurs de la progestérone dans les tumeurs et les variations rapportées du volume tumoral pendant la grossesse.

Vaccinations chez les allergiques à l’oeuf

SOURCE : Guy Duteau | MÉDECINE ET ENFANCE – janvier, février 2020

Notre consœur A. Boutemy recherchait le texte levant la contre-indication du vaccin ROR (rougeole-oreillonsrubéole) chez les allergiques à l’œuf. Il s’agit là d’une question importante, car elle nous dit que, dans sa région, nombreux sont les patients avec allergie ultra-modérée à l’œuf non vaccinés. Elle a adressé cette demande directement à F. Vié Le Sage, qui publie la réponse d’Infovac car, dit-il fort justement, cela peut intéresser le forum.

Toxicité neurologique des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire

SOURCE : Dimitri Psimaras | CORRESPONDANCE EN ONCO-UROLOGIE – Janvier, février, mars 2020

La toxicité neurologique des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire (IPCI) est rare mais potentiellement sévère ; elle peut toucher aussi bien le système nerveux central que le système nerveux périphérique. » Le diagnostic positif et différentiel (notamment infectieux et néoplasique) doit être rapide et ne pas retarder la prise en charge thérapeutique.

Infiltrations de corticostéroïdes : plus délétères que bénéfiques ?

SOURCE : Hervé Bard | LA LETTRE DU RHUMATOLOGUE – mars 2020

Les infiltrations de corticostéroïdes (ICS) sont depuis longtemps un des traitements les plus utilisés par les rhumatologues et, s’ils ne sont pas les seuls à les pratiquer, elles font partie de leur champ d’expertise comme de leur valeur ajoutée, et constituent un des principaux motifs de consultation.

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