La pandémie de Covid-19 causée par le SARS-CoV-2 a stimulé le développement de vaccins très efficaces qui ont été produits à une vitesse sans précédent grâce à l’utilisation de nouvelles technologies. Aucune alerte de sécurité majeure, hormis de rares cas d’anaphylaxie, n’avait été signalée lors des premiers essais qui ont concerné des dizaines de milliers d’adultes, et le risque d’effets indésirables graves est resté remarquablement faible après la vaccination de plus de 1 milliard de personnes dans le monde. Il n’est pas surprenant que des rapports de réactions exceptionnelles soient maintenant décrits à mesure que le nombre d’individus vaccinés augmente.
Le kratom (Mitragyna speciosa) remède de la médecine traditionnelle du Sud-Est asiatique est de plus en plus consommé dans les pays développés par des usagers de profils variés (anciens dépendants d’autres substances, personnes souffrant de douleurs chroniques ou de différentes pathologies psychiatriques, des sportifs, etc.) qui recherchent les propriétés opioïdes et psychostimulantes de cette plante et s’exposent au risque de dépendance.
S’il a certainement été utile, le temps de saignement, pour évaluer la capacité des patients à mettre en œuvre l’hémostase primaire, s’est finalement avéré difficile à standardiser. Cette courte revue retrace l’historique de ce test maintenant déconseillé et disparu, au vu des progrès dans la compréhension de la cascade de l’hémostase et des moyens de l’explorer.
Pourquoi choisir les corticoïde ? Il n’existe pas de recommandations standardisées. Il convient de privilégier un faible effet minéralocorticoïde et de prendre en compte les comorbidités du patient, son état nutritionnel ainsi que ses traitements concomitants, étant donné l’intervention du cytochrome P450 dans le métabolisme des corticoïdes, responsable de possibles interactions
Quand les démarrer ? Quand les arrêter ? Lire la suite…