Toxicité rénale des inhibiteurs des points de contrôle de l’auto-immunité

Toxicité rénale des inhibiteurs des points de contrôle de l’auto-immunité

SOURCE : Hassan Izzedine | CORRESPONDANCE EN ONC-UROLOGIE – janvier, févier, mars 2020 septembre 2019

L’inhibition du point de contrôle immunitaire a eu un succès clinique majeur en oncologie clinique et un impact sur le paradigme du trai- tement de nombreux cancers. Les indications de l’immunothérapie se sont progressivement étendues, y compris pour les traitements adjuvants. Les toxicités associées à l’immunothérapie sont bien décrites et peuvent toucher n’importe quel organe du corps humain. La toxicité rénale est multifocale.

laborantin qui examine une pipette

Les tests de diagnostic rapide du SARS-CoV-2 : quelle stratégie ?

SOURCE : Pr Robert Cohen et coauteurs | LA LETTRE DE L’INFECTIOLOGUE – Septembre, octobre 2020

Des tests de diagnostic rapide antigéniques du SARS-CoV-2 (TROD-SC-2) sont maintenant disponibles et accessibles chez les médecins, pharmaciens et infirmières. Ils vont même pouvoir justifier d’une cotation relativement avantageuse pour les soignants (2 C pour les médecins).

Décider selon les données de la science, y compris en période pandémique

SOURCE : Collectif – Conseil scientifique | COLLÈGE NATIONAL DES GÉNÉRALISTES ENSEIGNANTS – 3 novembre 2020

En mars 2020, lors de la première vague de l’épidémie liée au SARS-Cov-2, le conseil scientifique du CNGE a préconisé de ne pas traiter les patients atteints de Covid-19 par l’hydroxychloroquine et/ou l’azithromycine en l’absence de données probantes sur leur efficacité dans cette infection1. Depuis, plusieurs essais cliniques randomisés ont confirmé qu’ils n’apportaient pas de bénéfice clinique aux patients2,3. Au contraire, des effets indésirables potentiellement graves ont été mis en évidence, en particulier lors de l’association de ces deux médicaments4.

Organisation en réseaux pour la prise en charge des effets indésirables de l’immunothérapie anticancéreuse

SOURCE : Jean-Marie Michot, Stéphane Champiat, Olivier Lambotte | CORRESPONDANCES EN ONCO-UROLOGIE – Janvier, février, mars 2020

L’arrivée des nouvelles immunothérapies anti-CTLA-4 et anti-PD-1/ PD-L1 constitue une réelle révolution en oncologie médicale. Tout d’abord, leur mécanisme d’action est un vrai changement de paradigme :

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