Nous avons été interpellées par des partenaires médicosociaux sur des consommations de médicaments par des jeunes mineurs sur l’espace public Lyonnais. Nous avons débuté une étude de terrain, afin d’évaluer la réalité, de définir les modalités et de mesurer l’ampleur du phénomène.
Pourquoi vacciner les adolescents et les enfants alors que l’on sait depuis lespremiers mois de la pandémie qu’il existe très peu de formes graves dans cettetranche d’âge ? En France, l’hospitalisation des moins de18ans concerne moins de1% de toutes les hospitalisations pour Covid-19et le nombre de décès, moinsde0,01%.
La question semblait ne pas se poser la première année de la pandémie puisque lesprogrammes de recherche sur les vaccins ont exclu systématiquement les enfants. Cen’est que plus de1an après le début de la pandémie, lorsque l’efficacité remarquable et la bonne tolérance ont été démontrées pour les vaccins à ARNm, qu’ont commencé lesétudes chez l’adolescent puis chez l’enfant. ( … )
Le cas clinique proposé par Vincent Davy dans le numéro de décembre de La Lettre du Neurologue (edimark.fr) est intéressant à plus d’un titre. Il illustre tout d’abord la nécessité d’envisager systématiquement – et en particulier chez un sujet jeune – l’hypothèse d’une intoxication au protoxyde d’azote dans le contexte d’un tableau neurologique périphérique ataxique et déficitaire d’installation aiguë, classiquement évocateur d’un syndrome de Guillain-Barré.
- Le vaccin contre les papillomavirus humains (HPV) est pris en charge par l’Assurance maladie pour les garçons de 11 à 14 ans depuis le 1er janvier 2021.
- Le vaccin contre les HPV réduit de près de 90 % le risque d’un cancer du col de l’utérus lorsqu’il est administré chez les jeunes femmes avant l’âge de 17 ans.
- Le vaccin contre les HPV entraîne une immunité de groupe.
- Fin 2020, l’Organisation mondiale de la santé a lancé un grand plan stratégique pour éviter 5 millions de décès d’ici à 2050.
- Il existe un intérêt à vacciner les individus déjà traités pour une maladie liée aux HPV.
- Dans la goutte, la stratégie de treat-to-target est aussi efficace avec l’allopurinol qu’avec le fébuxostat.
- Une cible thérapeutique d’uricémie à 200 µmol/L ne permet pas de réduire davantage l’évolution structurale de la goutte érosive qu’une cible à 300 µmol/L.
- Le tigulixostat est un inhibiteur non purinique de la xanthine oxydase efficace dans le traitement de l’hyperuricémie.