Le mésusage des médicaments dans la population de mineurs non accompagnés

Le mésusage des médicaments dans la population de mineurs non accompagnés sur la ville de Lyon

Nous avons été interpellées par des partenaires médicosociaux sur des consommations de médicaments par des jeunes mineurs sur l’espace public Lyonnais. Nous avons débuté une étude de terrain, afin d’évaluer la réalité, de définir les modalités et de mesurer l’ampleur du phénomène.

Nouvelle Chronique ABUM : Le numérique qui relie les professionnels (Pharmaradio – 3 juin 2022)

La chronique revient sur la table ronde « Le numérique qui relie les professionnels » organisée lors du Forum ABUM le 18 mai dernier.

Que pensent les patients du numérique ? Le journaliste explique que Bernard Denis, président de l’Union Francophone des Patients Partenaires, parle de « l’analphabétisme » des patients face au langage médical et aux notices de médicaments « réglementaires et abstraites ». Il ajoute qu’un patient « à qui on explique comment les médicaments marchent, est plus à même d’accepter et de suivre ses traitements ». C’est la raison de la création du premier Diplôme Universitaire du Patient Partenaire par l’UFPP ainsi que de la création des premières vidéos co-construites avec l’ANSM sur le Médicament, ce qu’il est et son usage, qui vont être diffusées pour le grand public.

Il précise que « « le coût du milliard d’euros causé par le mésusage des médicaments pourrait être réduit par le patient lui-même ».

William Rolland, coordinateur au Snitem, confirme l’explosion technologique et évoque « la révolution qui transforme le matériel en e-matériel et le logiciel en Dispositif Médical ». « Nous ne sommes plus dans le monde du gadget et il faut prouver que si la santé est un bien de consommation, les pré requis de qualité, d’utilité, d’efficacité doivent être à la hauteur des exigences vis-à-vis des médicaments. »

Source : https://www.pharmaradio.fr/podcast/pharmanews-de-gilles-brault-scaillet/les-pharmanews-de-gilles-brault-scaillet-10025

Forum ABUM 1ère table ronde: Numérique et professionnels (Pharmaradio – 2 juin 2022)

L’émission revient sur le Forum du Bon Usage du Médicament organisé le 18 mai, sur le thème du numérique, au ministère de la Santé.

« Le numérique et le médicament font-ils bon ménage pour le bon usage ? » Le journaliste explique que parmi les professionnels de santé, « les pharmaciens furent les premiers à s’investir dans le dossier patients ». Il ajoute que Carine Wolf-Thal, la présidente du Conseil de l’Ordre des pharmaciens, l’illustre en indiquant que 48 millions de dossiers pharmaceutiques (DP) ont été créés.

« Le DP est un outil remarquable de conciliation médicamenteuse et représente, pour 25% des urgences, la seule source d’information sur le patient », précise-t-il.

Il indique que William Joubert, président de l’UNPS, expose « l’évolution essentielle de l’effort convergent de la part de tous les opérateurs de logiciels pour qu’il y ait une interopérabilité, condition sine qua non pour rendre possible la communication entre la ville, l’hôpital, et l’univers médico-social ».

Le journaliste ajoute que « pour l’e-prescription, le QR code ouvre le champ des possibles et peut résoudre, en grande partie, les fraudes à l’Assurance Maladie ».

source : https://www.pharmaradio.fr/podcast/pharmanews-de-gilles-brault-scaillet/les-pharmanews-de-gilles-brault-scaillet-10019

Vaccination contre le Covid-19 de l'adolescent et de l'enfant

Vaccination Covid enfant adolescent oct 2021

Pourquoi vacciner les adolescents et les enfants alors que l’on sait depuis lespremiers mois de la pandémie qu’il existe très peu de formes graves dans cettetranche d’âge ? En France, l’hospitalisation des moins de18ans concerne moins de1% de toutes les hospitalisations pour Covid-19et le nombre de décès, moinsde0,01%.

La question semblait ne pas se poser la première année de la pandémie puisque lesprogrammes de recherche sur les vaccins ont exclu systématiquement les enfants. Cen’est que plus de1an après le début de la pandémie, lorsque l’efficacité remarquable et la bonne tolérance ont été démontrées pour les vaccins à ARNm, qu’ont commencé lesétudes chez l’adolescent puis chez l’enfant. ( … )

Gare au proto !

Gare au proto !

Le cas clinique proposé par Vincent Davy dans le numéro de décembre de La Lettre du Neurologue (edimark.fr) est intéressant à plus d’un titre. Il illustre tout d’abord la nécessité d’envisager systématiquement – et en particulier chez un sujet jeune – l’hypothèse d’une intoxication au protoxyde d’azote dans le contexte d’un tableau neurologique périphérique ataxique et déficitaire d’installation aiguë, classiquement évocateur d’un syndrome de Guillain-Barré.

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