COVID-19 : la FÉDÉRATION ADDICTION a diffusé le 24 mars un communiqué : Nous traversons une situation de crise sanitaire majeure qui impacte l’organisation de l’ensemble de nos champs d’intervention, dispositifs et organisations. Les acteurs de l’addictologie restent fortement mobilisés, même en contexte dégradé pour assurer une continuité de soin et d’accueil dans des conditions difficiles.
SOURCE : Faiza Rhalimi | Drugs – Real World Outcomes 2016
Background The role of the clinical pharmacist within the healthcare system remains unclear.
Objective Our objective was to describe a pharmacist’s comprehensive geriatric assessment (pCGA) at admission of elderly patients and to assess its relevance in terms of medication compliance and pharmacist interventions (PIs). Methods We conducted a prospective interventional study over 29 months in a 34-bed medical/rehabilitation geriatric ward in a French geriatric hospital.
SOURCE : Name | HAS 2005
A l’attention des professionnels travaillant sur la mission de CSAPA référent en milieu pénitentiaire.
… Les personnes sortant de prison sont parmi les plus exposées à un risque de rupture de traitement, surtout dans le contexte actuel qui laisse les soignants intra-muros en situation de grande tension (effectifs, tensions internes, demandes croissantes du fait du contexte angoissant) et les intervenants en addictologie (en particulier les CSAPA référents prison à gestion associative) contraints de rester en dehors des murs de la prison.
SOURCE : FÉDÉRATION ADDICTION | Mars 2020
S’il en était encore besoin, l’inquiétude de beaucoup de nos patients, l’émotion voire même l’agitation actuelle dans les foyers pour jeunes et adolescents ou dans les lieux de privation de liberté confirment bien que la dépendance au cannabis et donc les syndromes de sevrage existent bel et bien !
SOURCE : HAUT CONSEIL DE LA SANTÉ PUBLIQUE 23 mars 2020
Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a été saisi par la Direction générale de la santé (DGS) par mail daté du 18 mars 2020. La DGS souhaite disposer de recommandations en urgence sur les aspects thérapeutiques de prise en charge des patients atteints de COVID-19. La saisine précise que le HCSP peut s’appuyer sur l’avis du 5 mars [1], en lien avec l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), et auditionner des cliniciens ayant pris en charge des patients dans les zones actuellement les plus touchées [annexe 1].