Le cannabis est l’un des facteurs de susceptibilité de la schizophrénie.
Il induit des effets psychotomimétiques avec des concentrations élevées de THC.
Les jeunes consommateurs de cannabis qui présentent des symptômes psychotiques ont des consommations plus précoces ainsi que des antécédents familiaux de schizophrénie.
L’impact cognitif ne facilite pas la prise en charge.
Le traitement de la dépendance tabagique associée est souvent sous-estimé et doit être proposé systématiquement.
Auteurs : E. Bard de Siqueira, D. Touzeau