SOURCE : Valérie Pourcher | LA LETTRE DU NEUROLOGUE septembre 2019

Les traitements immunosuppresseurs de la SEP peuvent entraîner un risque de réactivation d’agents pathogènes latents, d’aggravation d’infections chroniques asymptomatiques et un risque d’infections de novo, communautaires ou nosocomiales.
En pratique clinique, il est préférable d’évaluer ce risque le plus tôt possible, au moment du diagnostic de SEP, de proposer un suivi spécifique ou un projet vaccinal dès que possible afin d’éviter les contreindications
ou le risque de réponses vaccinales plus faibles sous traitement.

Un dépistage systématique doit être proposé pour chaque patient au moment du diagnostic de SEP ou au moins avant un traitement de 2e intention afin de réduire ce risque.
Le calendrier de vaccination doit être mis à jour et un vaccin antigrippal doit être proposé chaque année.
Les vaccins vivants atténués ne sont pas autorisés pour les patients recevant des médicaments immunosuppresseurs.

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La Lettre du NeurologuE Vol. XXIII – n° 7 – septembre 2019
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