Prochain Forum de l’Association Bon Usage du Médicament (18 juin)

Comment bâtir une politique de santé publique, comment faire adhérer les patients et les professionnels, si on ne peut pas bien appréhender les causes et les déterminants, évaluer les risques, cibler et mesurer l’impact des actions prises ?

Une journée pour réfléchir ensemble aux indicateurs pertinents et aux moyens de les obtenir afin de poser les bases de la mise en œuvre d’un observatoire national du bon usage.

Atelier Hack’in Pharma Auvergne-Rhône-Alpes (13 au 15 mars)

Hack’in Pharma, événement co-organisé par l’Université Paris-Saclay et IncubAlliance Paris-Saclay, est le premier hackathon national des facultés de pharmacie.

Développer des projets transposables en start-up ou prototyper des solutions valorisables, tel est le défi lancé aux équipes constituées de 6 étudiant·es venant de 12 facultés de pharmacie issues de toute la France.

Pour cette deuxième édition, les étudiant·es seront accueilli·es du jeudi 13 au samedi 15 mars 2025 au Centre Henri Moissan – Pôle Biologie Pharmacie Chimie de l’Université Paris-Saclay. Les équipes en compétition auront 33 heures chrono pour tester, créer, recommencer et enfin présenter leur solution devant un jury de professionnel·les de la santé et du parcours patient. Pour mener à bien leur projet, leurs heures de travail seront rythmées par les conseils et le soutien d’experts ainsi que par des ateliers et des conférences inspirantes.

Pharmagora : Bon usage des médicaments en pédiatrie (8 mars)

Table ronde organisée par l’ABUM, le 8 mars 2025 de 11h20 à 12h00 à Pharmagora Plus en présence de Eric Baseilhac, président de l’ABUM et Antoine Dupuis, président de la SFPC, membre de l’ABUM.

Après avoir rappelé les particularités du bon usage en pédiatrie et les points clés de l’analyse de la prescription chez l’enfant, nous travaillerons autour de cas pratiques puis découvrirons la nouvelle application de la SFPC, POPI, consacrée à l’usage des médicaments en pédiatrie. Un temps important sera consacré aux échanges avec les participants.

Surconsommation de médicaments : quels sont les risques et comment les éviter ?

Article original sur Harmonie-Santé

Destinés à soulager et à guérir, les médicaments sont évidemment une chance pour les patients. Mais leur mauvais usage peut aussi avoir de graves conséquences sur leur santé.

Ils font partie de notre quotidien – et nous oublions parfois qu’ils ne sont pas anodins. Pire, il n’est pas rare que nous nous livrions à quelques « petits arrangements » avec nos ordonnances… Un récent sondage a ainsi montré que trois Français sur dix adaptent, par eux-mêmes, la dose ou la durée des médicaments qui leur ont été prescrits. Une personne sur cinq prend également des doses plus fortes ou plusieurs médicaments en même temps pour soulager plus vite les symptômes.

Quels anti-infectieux restent contre-indiqués chez la femme enceinte en 2023 ?

Quels anti-infectieux restent contre-indiqués chez la femme enceinte en 2023 ?

La question du choix de l’anti biotique chez la femme enceinte qui présente une infection est fréquemment posée, avec la difficulté de devoir traiter efficacement la mère sans nuire au bébé. Ainsi, une étude française menée en 2019 relève que 36 % des femmes enceintes ont eu une pres- cription d’anti biotique pendant leur grossesse. Outre l’impact sur la santé de la mère, qui serait plus sensible à certaines bactéries du fait de son état physio logique de femme enceinte, la plupart des infections, qu’elles soient bactériennes, virales, fongiques ou parasitaires, ont également un impact sur l’issue de la grossesse (risque d’avortement, mort fœtale, retard de croissance, prématurité, etc.) et, par la transmission maternofœtale, sur l’enfant à naître (in utero ou en période néonatale). Ainsi, l’existence d’une grossesse en cours constitue habi- tuellement un argument supplémentaire pour traiter l’infection.

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