PharmaSwap permet aux pharmaciens d’échanger entre eux des médicaments proches de leur date de péremption et aux grossistes de vendre leurs stocks. Il s’agit d’une solution déjà expérimentée en HOLLANDE avec 35 % des pharmaciens déjà inscrits et 8 des principaux grossistes, c’est un moyen éprouvé de lutter contre le gaspillage et les pénuries de médicaments dans les pharmacies.
Lieu : Salle Laroque du Ministère de la Santé et de la Prévention
Thématique :
Tout au long de la chaîne du médicament, de sa conception à sa prescription, de sa dispensation à sa prise puis son élimination…. comment le bon usage des médicaments peut-il contribuer à la diminution de leur impact environnemental ?
Une réflexion pluridisciplinaire basée sur les connaissances acquises et menée en 3 tables rondes pour aborder données factuelles, expériences, projets et réflexions sur l’écoconception, l’évolution des usages et des normes… et au final l’évolution du concept de bon usage.
C’est en 1921 que le Roumain Nicolae Paulescu, à la suite de plus de 10 ans de recherches, ainsi que deux très jeunes Canadiens, Frederick Banting, chirurgien, et Charles Best, biochimiste, travaillant seulement depuis moins d’un an dans le laboratoire…
Lire la suite…
- L’innocuité des prothèses en silicone a longtemps été débattue par la communauté scientifique.
- Le silicone est un agent potentiellement immunogène dans certains modèles animaux.
- La majorité des études bien menées ne trouve pas d’association entre les maladies systémiques et les prothèses mammaires siliconées.
- L’explantation mammaire n’a aucun effet sur l’évolution de la maladie systémique.
Lire la suite…
Les anesthésies générales pratiquées chaque jour participent directement au réchauffement climatique. Mais des solutions existent pour une administration écoresponsable des vapeurs anesthésiques au cours de l’anesthésie générale inhalée. Le Dr Laure BONNET nous l’explique.
- En quoi consiste votre innovation ? Comment ça marche ?
Le nombre d’actes d’anesthésies pratiqués chaque année ne fait que croitre depuis des décennies : 4 millions dans les années 80, 8 millions en 1996 et près de 11,5 millions en 2010 (derniers chiffres). Il s’agit d’anesthésies locorégionales, de sédations ou d’anesthésies générales. Parmi les anesthésies générales, 70% sont entretenues par l’inhalation de gaz anesthésiants autrement appelés vapeurs anesthésiques via les respirateurs d’anesthésie.