SOURCE : Dimitri Psimaras | CORRESPONDANCE EN ONCO-UROLOGIE – Janvier, février, mars 2020

La toxicité neurologique des inhibiteurs de point de contrôle immunitaire (IPCI) est rare mais potentiellement sévère ; elle peut toucher aussi bien le système nerveux central que le système nerveux périphérique. » Le diagnostic positif et différentiel (notamment infectieux et néoplasique) doit être rapide et ne pas retarder la prise en charge thérapeutique.

La caractéristique des effets indésirables immunomédiés liés aux IPCI est la sensibilité à la corticothérapie et aux autres traitements immunomodulateurs (qui peuvent être proposés aux patients corticorésistants).

Le caractère pléiotrope de la toxicité neurologique liée aux IPCI requiert une prise en charge multidisciplinaire spécialisée.

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Correspondances en Onco-Urologie – Vol. XI – n°1 – janvier-février-mars 2020
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